Le premier syndicat de journalistes de France Télévisions
Un reportage intitulé « Aéroports : L’enfer du bruit pour les riverains » a été diffusé dans le 13 h 00 de France 2 du 9 mai 2023 pour annoncer une manifestation nationale contre les nuisances aériennes prévue en fin d’après-midi. Le reportage démarre par […]
Communiqués nationauxCAMPUS Le 21 avril 2023 s’est tenu un CSE Central, suivi le 24 avril d’un CSE Siège pour présenter aux élus le projet d’information-consultation sur l’installation des Directions du Numérique, des Technologies et leurs fonctions de proximité (Finance et RH) au sein du bâtiment Seine-Ouest (ex-PMU). […]
Communiqués nationaux SiègeCommuniqué intersyndical SNJ – SNJ-CGT – CFDT-JOURNALISTES – SGJ-FO Arman Soldin, journaliste coordinateur vidéo en Ukraine de l’AFP, est mort mardi 9 mai sur le front en Ukraine, tué par un tir de roquette russe. Il avait 32 ans. Ce journaliste français, tombé au travail, […]
Communiqués nationauxCommuniqué SNJ CGT CFDT France 3 Lyon : Torpillages
Non classéCommuniqué SNJ CGT CFDT France 3 Lyon : Torpillages
Se mobiliser pour des éditions de qualité, riches en reportages, en images, pour l’exercice d’un journalisme de terrain. En grève contre la diminution du nombre des équipes de reportages JT qui contribue à l’appauvrissement des contenus, à la systématisation des invités et des chroniques pour […]
Non classéSe mobiliser pour des éditions de qualité, riches en reportages, en images, pour l’exercice d’un journalisme de terrain.
En grève contre la diminution du nombre des équipes de reportages JT qui contribue à l’appauvrissement des contenus, à la systématisation des invités et des chroniques pour cacher la misère et combler le temps d’antenne.
TRACT INTERSYNDICAL SNJ / CGT / CFDT / SUD
Non classéTRACT INTERSYNDICAL SNJ / CGT / CFDT / SUD
COVID-19 Le SNJ a appris, en CSE Siège, que des primes exceptionnelles de 300 euros ont été attribuées en décembre 2020, au seul titre de titulaire d’un mandat de représentant du personnel ou de délégué syndical. Une information donnée pendant les débats, par la direction. […]
Non classéCOVID-19
Le SNJ a appris, en CSE Siège, que des primes exceptionnelles de 300 euros ont été attribuées en décembre 2020, au seul titre de titulaire d’un mandat de représentant du personnel ou de délégué syndical. Une information donnée pendant les débats, par la direction.
Les autres élus ont été également surpris de l’apprendre. Au SNJ, cette information a provoqué incompréhension et colère.
Vos représentants n’ont pas à être récompensés pour avoir honoré leur mandat !
Le SNJ recommande à ses élus et délégués syndicaux de refuser cette prime exceptionnelle et de la restituer, comme l’ont immédiatement signifié, en séance du CSE, un certain nombre d’entre nous.
Nous n’étions pas favorables, par principe, à l’attribution de primes exceptionnelles. Aujourd’hui les faits nous donnent raison : cette vraie fausse prime Covid n’en finit plus de diviser les services et les rédactions. Et ce n’est pas en gratifiant les élus et délégués syndicaux au seul titre de leur mandat que la situation va s’apaiser !
Le SNJ demande à la direction de réunir les organisations syndicales pour mettre fin à cette politique opaque.
Paris, le 14 janvier 2021
Tract intersyndical SNJ – CFDT – CGT – Sud
Non classéTract intersyndical SNJ – CFDT – CGT – Sud
CSE Siège des 13 et 14 JANVIER 2021 [Préalable SNJ] Le 26 août 2019 disparaissait le « Soir 3 », au profit du « 23 heures » sur France info. Un journal qui devait nous éclairer avant la nuit. A moindre coût puisque le cœur du projet funeste de […]
Non classéCSE Siège des 13 et 14 JANVIER 2021 [Préalable SNJ]
Le 26 août 2019 disparaissait le « Soir 3 », au profit du « 23 heures » sur France info.
Un journal qui devait nous éclairer avant la nuit. A moindre coût puisque le cœur du projet funeste de la direction, c’était de transférer les moyens de la rédaction nationale de France 3 vers le canal 27. Et quand nous disons moyens, nous parlons des salariés ! Journalistes, monteurs, mixeurs ! Tous ceux qui participaient à la fabrication du « Soir 3 », plateau et régie en moins, contribuaient à l’effort de guerre ! Plus d’un an plus tard voilà que ce grand projet s’autodétruit ! Les vacations montage et mixage disparaissent et seuls les journalistes du service politique seront réquisitionnés, parce qu’ils interviennent jusque-là principalement en plateau ! La politique de court terme, la frénésie de transformation sans idée, la violence sociale sans mesure, voilà en résumé le portrait de ceux qui nous dirigent ! Le journalisme de construction passe par la politique de destruction. Au passage, les 5 syndicats (SNJ, CGT, UNSA, CGC, et CFDT) qui viennent de signer le relevé de conclusions concernant les compensations salariales liées à l’ex « Soir 3 » demandent une négociation au sujet de ces nouvelles pertes qui se profilent pour le personnel du « 23 heures ».
Autre illustration parfaite du cynisme maison, la mise en place du nouveau 13 heures sur France 2 .Dans la presse, la promotion du nouveau présentateur-vedette de cette édition, soulève de nombreuses questions. Qui dans la rédaction a été associé à ce projet ? Peu de monde, et en tous cas pas les correspondants régionaux de France 2 qui réalisent parfois près de la moitié des reportages de cette édition.
Mieux encore, dans une interview, le nouveau visage du 13h dit tout de go vouloir s’appuyer sur 30 bureaux régionaux. Sans blague ?
Pour rappel, France Télévisions compte 10 entités dédiées aux éditions nationales, situées dans les grandes villes de France. Doit- on en déduire que c’est le réseau régional de France 3 qui va devoir travailler pour cette édition ? Alors que dans quelques jours ce même réseau va devoir assurer une nouvelle tranche autour de 18H30, sans aucun moyen supplémentaire ? Nous attendons des précisions et une fois n’est pas coutume, un langage de vérité de la part de la direction !
Puisque nous parlons des correspondants, certains bureaux viennent de changer de prestataire technique, le choix du moins-disant sur le plan qualitatif et probablement du moins cher, ayant été fait en toute opacité. Ce prestataire qui gère désormais les monteurs et une partie du matériel dans 6 bureaux sur 10 avait pourtant fait l’objet d’alertes de la part des correspondants de 2 bureaux où il intervenait déjà auparavant.
Soucis avec le matériel, problèmes de statut et d’heures supplémentaires pour les monteurs. L’histoire se répète malheureusement en ce début d’année. Parce que la direction n’a pas tenu compte des remontées. C’est pourquoi nous avons demandé qu’un point soit inscrit à l’ordre du jour de ce Comité Social et Economique. Mais le plus logique dans ce dossier serait bel et bien de ré internaliser le montage dans tous les bureaux en régions et partout dans le monde. Même chose pour les Journalistes Reporteurs d’Image, parfois monteurs en même temps à certains endroits. Le SNJ demande donc que dans le respect des métiers pratiqués à France Télévisions, hors chaine info, l’externalisation cesse dans les entités évoquées.
Nous n’en dirons pas plus sur le conflit autour des illustrateurs sonores mais nous avons constaté que cette direction, comme les précédentes, a contourné dans les grandes largeurs le droit de grève. En faisant par exemple réaliser par les bureaux à l’étranger, des sujets sur des zones géographiques bien éloignées des leurs. Pourquoi ? Parce que pour cette direction et les apprentis sorciers du monologue social, il y’avait trop de monteurs en grève au Siège. Alors, pour sauver l’antenne, on ne recule devant rien, jusqu’à déplacer la charge de travail sur des sites où il y a des prestataires techniques privés, c’est-à-dire dans les bureaux des correspondants de régions ou à l’étranger. Sans parler des changements de planning des monteurs ou des chargés d’édition … Et demain cette même direction demandera encore des efforts à tous les salariés qu’elle a humiliés pendant ce conflit en ne respectant pas leur travail et leur droit de grève !
Cette direction, encore, qui fait les comptes en supprimant des postes d’illustrateurs sonores mais qui n’a aucun scrupule à embaucher un chargé des relations avec les pouvoirs publics, au parcours bien identifié dans les coulisses du pouvoir en place, et sans doute avec une rémunération bien au-dessus de nos salaires moyens.
Cette équipe à la manœuvre n’aura réussi qu’une fusion, celle du cynisme et du mépris ! Les salariés doivent relever la tête comme l’ont fait avec courage les nombreux grévistes, pour défendre les illustrateurs sonores et une certaine vision de la qualité du Service Public, en refusant même des grandes missions et des reportages importants ! Se faire respecter, ne rien lâcher grâce à la mobilisation du collectif, c’est le message que nous avons partagé pendant ce mouvement social malgré l’attitude scandaleuse de la direction. Se faire respecter par celles et ceux qui en vitrine disent vouloir fabriquer de la démocratie mais qui en interne ne cherchent que de la servitude volontaire.
Paris, le 13 janvier 2021
MAINTIEN DU PREAVIS DANS LE RESEAU FRANCE 3
Non classéMAINTIEN DU PREAVIS DANS LE RESEAU FRANCE 3
Après cinq jours de grève pour réclamer le maintien d’un service d’illustration sonore, l’intersyndicale CFDT-CGC-CGT-FO-SNJ-UNSA déplore l’attitude de déni de la direction. Interrogée hier sur l’ouverture de négociations et le silence de la direction au quatrième jour de grève et près d’un mois après le […]
Non classéAprès cinq jours de grève pour réclamer le maintien d’un service d’illustration sonore, l’intersyndicale CFDT-CGC-CGT-FO-SNJ-UNSA déplore l’attitude de déni de la direction.
Interrogée hier sur l’ouverture de négociations et le silence de la direction au quatrième jour de grève et près d’un mois après le dépôt du préavis, la DRH de France Télévisions, Laurence Mayerfeld, affirme ne « pas vouloir discuter avec un collectif en grève ». Elle laisse entendre que sa porte ne sera ouverte… qu’à l’issue du mouvement !
Quel manque de considération pour les salariés qui se mobilisent depuis le 4 janvier et pour les six organisations syndicales qui les appuient !
Pourquoi ne pas dialoguer avec un collectif attaché à la qualité de l’antenne, avec des équipes de France Télévisions solidaires de leurs collègues illustrateurs sonores ?
Pourquoi ne pas entendre les centaines de personnes qui appuient cette mobilisation, que ce soit à travers une pétition en ligne, ou via les textes des SDJ de France 2 et France 3 qui demandent à Laurent Guimier de retirer son projet ?
Concernant l’attitude de la direction pendant cette semaine de grève, l’intersyndicale s’associe à l’indignation d’une centaine de collègues qui viennent d’adresser, ce vendredi 8 janvier, une lettre ouverte à la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte-Cunci :
L’intersyndicale dénonce les tentatives d’intimidation de la direction, qui diffuse auprès des grévistes des messages du type « attention, tu te mets en faute si tu reprends la grève, il n’est pas possible de sortir et revenir dans une grève illimitée ».
Sur quels fondements juridiques la direction interdit-elle à des salariés de se déclarer à nouveau gréviste lors d’un mouvement étalé sur plusieurs jours?
En dépit de ces postures managériales, et du manque d’écoute de la direction, nous sommes toujours déterminés à obtenir le maintien d’un service d’illustration sonore.
Nous demandons également au directeur de l’Information, Laurent Guimier, de mettre en place une réflexion sur l’illustration sonore dans nos éditions, en associant les salariés concernés et les organisations syndicales.
Nous souhaitons qu’à cette occasion, tous les aspects essentiels d’une telle réforme (les conséquences sur l’emploi, la qualité de l’antenne, les conditions de travail) soient abordés en toute transparence et avec sincérité, dans le respect d’un dialogue social digne du Service Public.
Paris, le 8 janvier 2021