Le premier syndicat de journalistes de France Télévisions
Ce vendredi 10 juin, à 18h30, le SNJ appelle ses militants, ses adhérents et ses sympathisants à rendre hommage à Frédéric Leclerc-Imhoff, place de la République, à Paris. Tué en reportage en Ukraine le 30 mai, Frédéric Leclerc-Imhoff était journaliste pigiste pour BFMTV. A 32 […]
Rédaction IDF Siège Tous nos communiqués« Le groupe France Télévisions est en plan social depuis 10 ans » : Ce sont les mots de Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, devant les députés fin 2021. 15% des effectifs, 1500 postes en moins : c’est ce qu’il aura fallu subir pour faire face au […]
Communiqués nationaux Tous nos communiquésLe SNJ a signé aujourd’hui le contrat de génération pour la période 2017-2019. Il y a 3ans, nous avions refusé de signer le précédent accord que nous trouvions peu incitatif et difficilement applicable. Les faits nous ont donné raison. Au terme des 3 ans d’application […]
Non classéLe SNJ a signé aujourd’hui le contrat de génération pour la période 2017-2019. Il y a 3ans, nous avions refusé de signer le précédent accord que nous trouvions peu incitatif et difficilement applicable. Les faits nous ont donné raison. Au terme des 3 ans d’application peu de salariés en ont bénéficié et de nombreux candidats intéressés par ce dispositif se sont heurtés au refus de leur hiérarchie.
La direction semble avoir compris le message. Elle propose cette fois un volet embauches non négligeable et des mesures d’accompagnement incitatives.
Notre entreprise est vieillissante, moyenne d’âge 48 ans. Recenser les volontés de départs et favoriser le renouvellement générationnel est une nécessité.
Au chapitre des embauches, la direction prend des engagements chiffrés :
Chaque année 30% des recrutements seront réservés à des juniors (jusqu’à 30 ans) dont ¼ pour des jeunes issus de contrats d’alternance. À la fin de l’accord, en 2019, environ 250 alternants pourraient ainsi être recrutés en CDI.
Au chapitre de l’aménagement du temps de travail et de la préparation à la retraite :
Le dispositif prévoit, et c’est une nouveauté, que chaque demande (temps partiel, semaine de 4 jours etc….) soit acceptée sauf cas exceptionnel avec une possibilité d’arbitrage par la RH du siège en cas de refus local.
Autre nouveauté, pour les métiers reconnus « pénibles » comme les JRI, la demande sera acceptée de droit pour le temps partiel.
Financièrement, les conditions de départ en retraite progressive seront plus avantageuses pour les salariés de 60 ans et plus qui ont validé 150 trimestres :
– maintien des 5% de la prime forfait-jour
– perte de salaire compensée de 85 à 100% pour les temps partiels
– possibilité de cotiser sur la base d’un temps plein pour les temps partiels
En échange ces salariés s’engageront à quitter l’entreprise 36 mois après la signature de l’avenant à leur contrat de travail.
Enfin les seniors bénéficieront d’un accompagnement personnalisé et seront prioritaires en matière de formation.
Le partage d’expérience et la transmission des savoirs seront favorisés avec la définition d’un cadre et d’objectifs chiffrés tant sur le recours aux alternants que la formation des tuteurs, parrains ou maîtres d’apprentissage.
Le SNJ sera vigilant sur le respect et l’application loyale par la direction de cet accord au sein de la commission de suivi annuelle mais aussi au quotidien, auprès des salariés de France Télévisions.
Nous veillerons également à ce que cessent les mesures discriminatoires visant à écarter de l’antenne les journalistes jugés trop âgés.
Nous serons enfin très attentifs à ce que la direction respecte ses engagements en matière d’embauches pour ne pas déséquilibrer les rédactions et alourdir la charge de travail de chacun.
Pour ces différentes raisons, le SNJ a décidé de signer cet accord. Ce n’est pas pour autant un blanc-seing que nous donnons à la direction.
Le SNJ n’oublie pas les CDD historiques dont une partie a plus de 30 ans. Nous veillerons à ce qu’ils ne soient pas sacrifiés sur l’autel du jeunisme et soient toujours prioritaires lors des 75% de recrutements restants.
Paris, 24 février 2017
Frais de mission des CDD Mieux vaut être dirigeant grassement logé que CDD sans domicile ! On le sait bien… charité bien ordonnée commence par soi-même, pour les autres qu’importe si le gâteau est moins crémeux… Quand il faut faire des économies, les précaires restent une proie facile […]
Non classéMieux vaut être dirigeant grassement logé que CDD sans domicile ! On le sait bien… charité bien ordonnée commence par soi-même, pour les autres qu’importe si le gâteau est moins crémeux… Quand il faut faire des économies, les précaires restent une proie facile !
Hier la direction a fait preuve de générosité.
Pour les contrats inférieurs à 1 mois : retour à un remboursement à hauteur de 74 euros sur justificatifs pour le logement (abandon du forfait de 35 euros) le repas du soir repasse à 14 euros (au lieu de 23), il était tombé à 0 euro depuis le 1er février. A midi, cantine et tickets resto feront l’affaire, frais de mission si reportage à plus de 50 km ou repas résidence si moins de 50 km.
Pour les contrats supérieurs à 1 mois, il est proposé le passeport mobilité à 610 euros de forfait mensuel estimant qu’au-delà d’un mois un CDD est à résidence comme un CDI.
Pour les événements exceptionnels, retour aux frais spéciaux avec régime dérogatoire mais qui ne sera pas automatique puisque laissé à la discrétion les directions régionales.
Le SNJ a demandé de justifier de telles dispositions qui restent dans leur ensemble discriminatoires, pas question d’accepter un régime à deux vitesses pour des collaborateurs qui effectuent les mêmes tâches.
Le passeport à 610 euros étant une somme inacceptable, le SNJ souhaite qu’une mesure soit prise avec une grille tarifaire et tenant compte, de surcroît, des spécificités des villes.
Le SNJ a demandé concrètement des chiffres pour évaluer les avancées financières significatives que la direction dit effectuer avec ce dispositif dans le cadre de son plan global de rationalisation économique, en rappelant qu’il était impératif de ne pas se tromper de cible. Les déferlantes actuelles de nominations et le millefeuille qui continue de croître pour des strates aux panses bien pleines ont-elles pour vocation d’optimiser la aussi la stratégie d’économie si chère à notre direction ?
La direction a encore besoin de temps pour ajuster ses arrangements d’épicier et propose une troisième réunion avant 10 jours. En revanche la saisine reste plus que jamais d’actualité.
Paris, 21 février 2017
Pour découvrir ce qu’il ne faut jamais faire sur des sites internet d’information, rendez-vous sur les nouveaux sites « grandes régions ». Bazar à tous les étages. La direction a saboté le travail des salariés qui contribuent depuis des années au succès de France 3. Avec sans […]
Non classéDepuis la mise en place des nouveaux sites internet calqués sur les nouvelles régions, l’interface est illisible. Une foire où tout s’empile. Une dévalorisation du travail des journalistes et contributeurs des sites. Exemples :
Face au tollé suscité dans les antennes, la direction se retranche derrière les réseaux sociaux. C’est par leur intermédiaire que les internautes « rentrent » sur nos sites. Certes Mais une fois dedans, finies les flâneries pour voir les autres sujets locaux. On a juste envie de fuir !
La direction avait annoncé la fusion des sites internet de France 3 il y a plusieurs mois. Mais aux questions pressantes du SNJ et de la CFDT, elle a promis, la main sur le cœur, que les rédactions et antennes actuelles ne deviendraient pas invisibles. Promesse mensongère.
Pour le SNJ et la CFDT, la prochaine étape prévue par la direction sera la fusion des rédactions régionales, sous la bannière des nouvelles grandes régions. Nous exigeons que la direction cesse son travail de sape des antennes de France 3. Le travail des salariés doit être respecté. Nos téléspectateurs et internautes aussi.
La CFDT et le SNJ France Télévisions
Paris, le 20 février 2017
Campagne électorale Ces derniers jours, François Fillon et les principaux responsables de sa campagne s’en sont pris à plusieurs reprises à la presse, rendue responsable de ses difficultés actuelles, à la suite des révélations publiées notamment par le Canard Enchaîné et France 2. Des journalistes qui ont […]
Non classéCes derniers jours, François Fillon et les principaux responsables de sa campagne s’en sont pris à plusieurs reprises à la presse, rendue responsable de ses difficultés actuelles, à la suite des révélations publiées notamment par le Canard Enchaîné et France 2. Des journalistes qui ont simplement fait leur travail d’enquêteurs au service des citoyens.
Il n’est pas inhabituel pour un dirigeant politique en difficulté de mettre en cause les médias. La vieille recette politicienne consistant à s’attaquer au messager pour détourner l’attention a toujours eu ses adeptes.
En revanche, désigner en meeting à la vindicte des militants les journalistes présents dans la salle pour couvrir l’événement est une tout autre affaire. La récente campagne électorale aux États-Unis au cours de laquelle Donald Trump s’est ainsi comporté a démontré que les violences verbales du candidat et de son entourage pouvaient se traduire par des violences physiques de militants et sympathisants à l’encontre de journalistes.
Les campagnes électorales de 2007 et 2012 en France avaient également donné lieu à des dérapages.
Le Syndicat National des Journalistes, première organisation de la profession, appelle François Fillon et ses soutiens à se ressaisir et à faire cesser ce « spectacle » indigne d’une démocratie, avant que ne survienne un grave incident dont ils porteraient alors l’entière responsabilité.
Leur responsabilité ne serait pas moins grande que celle des incendiaires des cars régies de RTL et Europe 1, à Bobigny.
Paris, le 13 Février 2017
~ COMITÉ DES SALAIRES SIÈGE ~ C’est un nouveau rendez-vous manqué. En premier lieu parce que la direction applique une fois de plus de manière restrictive l’accord collectif de mai 2013. Elle réussit même la performance de délivrer encore moins d’informations que l’année dernière. De […]
Non classé~ COMITÉ DES SALAIRES SIÈGE ~
C’est un nouveau rendez-vous manqué. En premier lieu parce que la direction applique une fois de plus de manière restrictive l’accord collectif de mai 2013. Elle réussit même la performance de délivrer encore moins d’informations que l’année dernière. De plus, le SNJ réitère une de ses revendications, qui est de rétablir un accord de principe des salariés pour nous permettre de travailler sur leur situation salariale, sauf opposition de leur part. L’inverse instauré par l’accord de 2013 fait que cette année seulement 15 pour cent des salariés ont répondu positivement à la demande. La direction obtient alors, en compliquant la démarche, une opacité qui sert ses intérêts.
Une volonté affichée donc de déposséder les élus de cette nécessaire étude en transparence de la situation salariale de chacun. Malgré cela, nous avons fait notre travail et les constats sont accablants. Sans connaître l’enveloppe des mesures individuelles, les élus SNJ peuvent d’ores et déjà avancer que le compte n’y sera pas.
Quelques années seulement après le chantier de l’harmonisation, le fait du prince, çà et là, désorganise lourdement ce qui ressemblait alors à une volonté de faire disparaître un certain nombre de disparités entre journalistes de la toute nouvelle entreprise unique.
À ce titre, près de 150 journalistes sur les 544 inscrits dans les tableaux proposés aux élus sont clairement en situation de disparités. Des journalistes de « base » toujours pas « journaliste spécialisé » après 15 ans d’ancienneté, des « JS » toujours pas GR1 après 20 ans d’ancienneté et des salariés avec plus de 30 ans d’ancienneté toujours bloqués au niveau plancher de GR1.
Et ce ne sont pas les quelques pauvres mesures de cet exercice 2017 qui pourront inverser cette bien triste tendance. Après l’accident industriel du comité des salaires 2016 (une quarantaine de mesures), il y aura, nous l’espérons, un peu plus de noms sur la liste. Mais cela ne suffira certainement pas à changer une situation dont la direction a l’entière responsabilité, avec la complicité des chefs de service et de l’ensemble de l’encadrement intermédiaire. Tout ce beau monde se renvoie la balle, laissant entendre à tour de rôle que la situation leur échappe et qu’ils font toujours le maximum pour satisfaire le plus grand nombre.
Mais le constat est intolérable. Des disparités qui se creusent, des discriminations syndicales toujours d’actualité, et des situations individuelles qui n’ont pas bougé, certaines depuis près d’une dizaine d’années. Le SNJ se réserve alors le droit de saisir la justice, puisque la démocratie sociale en panne ne suffit pas à faire entendre raison à nos managers, complices de l’inégalité et de l’injustice.
Cette tragédie se jouera sans nous. Les élus du SNJ quittent donc cette séance. Nous défendrons en dehors de cette réunion les dossiers qui nous semblent prioritaires. Les oubliés des oubliés, les sanctionnés pour leur engagement, et ceux à qui on laisse entendre qu’une fois de plus cette année on récompense ceux qui travaillent. De fausses excuses en cynisme permanent, votre politique assumée continue à créer de nouveaux laissés pour compte dans des rédactions à deux ou trois vitesses.
Paris, le 08/11/2017
Lundi 6 février, la direction a reçu les organisations syndicales représentatives de l’entreprise suite à une saisine sur le dossier des frais de mission, concernant uniquement les CDD. Après un surréaliste débat sémantique sur la différence entre « frais de mission » et « indemnités de mobilité », la […]
Non classéLundi 6 février, la direction a reçu les organisations syndicales représentatives de l’entreprise suite à une saisine sur le dossier des frais de mission, concernant uniquement les CDD.
Après un surréaliste débat sémantique sur la différence entre « frais de mission » et « indemnités de mobilité », la direction a fini par admettre que la drastique diminution des frais de mission était en fait une simple mesure d’économie financière, sur le dos des précaires, bien évidemment !
Face aux arguments du SNJ et de la CFDT, la direction a accepté du bout des lèvres de revoir sa copie et proposé un autre rendez-vous, dans une dizaine de jours.
Mais cette même direction a refusé de mettre en place un moratoire en attendant que les négociations aboutissent, ce qui en dit long sur sa bonne volonté.
Le SNJ n’acceptera jamais la mise en place de mesures discriminatoires vis-à-vis des précaires et engagera toutes les actions, y compris celle de faire dire le droit, pour que France Télévisions respecte les CDD et les intermittents.
Paris, le 7 février 2017
Depuis ce lundi 6 février 2017, France Ô, chaîne de service public pour l’outre-mer dispose d’une nouvelle rédaction, venue tout droit d’une boîte de production qui a parait-il le statut d’agence de presse ! Cette entreprise a désormais en charge une session d’information de 52 minutes […]
Non classéDepuis ce lundi 6 février 2017, France Ô, chaîne de service public pour l’outre-mer dispose d’une nouvelle rédaction, venue tout droit d’une boîte de production qui a parait-il le statut d’agence de presse ! Cette entreprise a désormais en charge une session d’information de 52 minutes au quotidien à midi. Une première sur la chaîne nationale qui n’accorde d’ordinaire que peu de place à l’information des Outre-mers. Mettre plus d’informations ultramarines est donc en soi une très bonne chose, mais pourquoi le faire avec une société de production ? Pourquoi externaliser l’information ?
Parce que nous n’avons pas les moyens nous dit-on ? Pas les moyens ? La réduction d’ETP devient une obsession. La direction de l’info Outre-mer veut d’ailleurs coûte que coûte éviter de mettre en consultation 5 postes vacants dans la future rédaction commune et ce malgré l’engagement du président du CE siège avec l’aval du directeur exécutif du pôle outre-mer, Wallès Kotra.
Au lieu de donner les moyens aux journalistes de la chaine de développer les sessions d’informations, la direction crée une entité pirate… Au lieu de recruter pour assumer un nouveau travail, une nouvelle mission, la direction confie à un sous-traitant le surcroît d’activité ainsi dissimulé.
Faire place à une rédaction alternative qui peut, de plus, puiser allègrement dans la banque de données des sujets des journalistes des premières et de France Ô, pose également des questions fondamentales. L’accord sur les droits d’auteurs est-il respecté ? Que deviennent les sujets acquis par cette boîte de production sans l’accord des auteurs ?
Créer une rédaction parallèle c’est dénier toute responsabilité sur l’info aux journalistes salariés de France Ô. Outre l’humiliation ressentie, la personne morale que constitue la rédaction n’est-elle pas passée au rebut ?
Le SNJ s’insurge contre cette dévitalisation de la rédaction de Malakoff, déjà amputée d’un collectif de journalistes spécialistes de l’Afrique.
Le SNJ s’inquiète de ces décisions prises en catimini et sera extrêmement vigilant face aux menaces qui planent sur la rédaction de Malakoff.
Malakoff, le 7 février 2017
Complémentaire santé Depuis mai 2016 les salariés précaires employés par France télévisions (hors établissements du Pacifique) peuvent bénéficier du dispositif légal de généralisation de la complémentaire santé. Un dispositif encore mal connu et qui peut pourtant permettre de percevoir jusqu’à 96 € par mois. Conçu […]
Non classéDepuis mai 2016 les salariés précaires employés par France télévisions (hors établissements du Pacifique) peuvent bénéficier du dispositif légal de généralisation de la complémentaire santé. Un dispositif encore mal connu et qui peut pourtant permettre de percevoir jusqu’à 96 € par mois.
Conçu pour les CDD d’une durée inférieure ou égale à trois mois, le montant du versement santé varie en fonction du nombre de jours travaillés.
C’est une contribution patronale aux coûts engagés par les salariés non permanents qui ont souscrit une mutuelle.
Pour en bénéficier, il faut cependant remplir quelques conditions et notamment pouvoir justifier au moment de l’embauche de la souscription individuelle d’un contrat frais de santé labellisé “responsable”.
A noter que les salariés bénéficiaires de la CMU ou d’une couverture collective et obligatoire y compris en tant qu’ayant droit ne sont pas éligibles au versement santé.
De même les intermittents du spectacle couverts par un dispositif spécifique relevant de l’accord interbranches du 20 décembre 2006 ne peuvent pas prétendre à ces versements.
Même chose pour les journalistes rémunérés à la pige par France télévisions et qui peuvent eux bénéficier du régime particulier de frais de santé conclu par les syndicats de journalistes et les employeurs de la presse en septembre 2015 et auquel France télévisions a adhéré en avril 2016.
Enfin, les salariés engagés pour des CDD d’une durée supérieure à trois mois peuvent bénéficier de la mutuelle d’entreprise au même titre que les CDI.
En résumé, si vous n’êtes ni pigistes ni intermittents, mais journalistes ou PTA engagés pour des CDD de courte durée, le versement santé vous concerne.
Parlez-en à vos interlocuteurs RH .
Paris le 27 Janvier 2017
Barème 2017 | ||
Calcul du versement santé | ||
Nombre de jours travaillés au cours d’un même mois civil | Montant à verser | |
1 | 4,439 | |
2 | 8,878 | |
3 | 13,317 | |
4 | 17,756 | |
5 | 22,195 | |
6 | 26,634 | |
7 | 31,073 | |
8 | 35,512 | |
9 | 39,951 | |
10 | 44,390 | |
11 | 48,829 | |
12 | 53,268 | |
13 | 57,707 | |
14 | 62,146 | |
15 | 66,585 | |
16 | 71,024 | |
17 | 75,463 | |
18 | 79,902 | |
19 | 84,341 | |
20 | 88,780 | |
21 | 93,219 | |
22 j ou plus | 96,188 | |
PMSS : 3269€ |
Salariés en CDD_Réclamez votre versement santé !
Emplois « La rédaction de Lyon n’en peut plus. Ses effectifs de longue date insuffisants font réagir ses journalistes qui se mobilisent : plus des trois quarts ont signé cette lettre ouverte. » Avec le soutien du SNJ France Télévisions. Depuis des années, la rédaction de Lyon […]
Non classé« La rédaction de Lyon n’en peut plus. Ses effectifs de longue date insuffisants font réagir ses journalistes qui se mobilisent : plus des trois quarts ont signé cette lettre ouverte. »
Avec le soutien du SNJ France Télévisions.
Depuis des années, la rédaction de Lyon est en sous-effectif chronique.
Depuis des années, les journalistes pallient ce manque de moyens humains au prix d’une abnégation et d’une souffrance grandissantes.
Aujourd’hui :
De plus, des effectifs sont aujourd’hui mobilisés sur internet, la veille actu, l’édition, ce qui réduit ENCORE les moyens dédiés au JT.
Résultat :
La situation n’est plus tenable.
Nous refusons de continuer à travailler ainsi, au rabais, dans la frustration et le manque d’ambition.
Nous demandons à la direction de résorber le déficit en journalistes de la rédaction pour garantir 7 équipes d’actualité par jour, seuil minimum pour pouvoir assurer des éditions de qualité. Nous refusons catégoriquement que la solution soit de « piocher » des effectifs dans les éditions locales, comme cela a pu être évoqué.
Nous attendons une proposition concrète, responsable et sérieuse avant la mi-février afin de « construire ensemble un avenir serein et novateur ». Nous participerons pleinement à l’aboutissement de cette proposition.
Sans garantie d’obtention de moyens supplémentaires, les journalistes de la rédaction de Lyon envisageront d’autres moyens d’action.
La Rédaction
Lyon, le 25 janvier 2017
Lettre ouverte à la Direction Régionale de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes
Frais de mission pour les précaires Précariser un peu plus nos CDD semble désormais être la principale préoccupation de la direction de France Télévisions. Après avoir réduit de façon drastique le nombre de jours que les nouveaux CDD pourront effectuer, voilà que la direction impose un […]
Non classéPrécariser un peu plus nos CDD semble désormais être la principale préoccupation de la direction de France Télévisions. Après avoir réduit de façon drastique le nombre de jours que les nouveaux CDD pourront effectuer, voilà que la direction impose un nouveau menu : dormir… ou manger !
Les précaires pourront désormais choisir entre un forfait journalier famélique, 35 euros, indécent ou bien 74 euros sur justificatif ! Voilà qui somme les précaires de choisir entre une chambre ou des repas !
Les statutaires ne semblent pas concernés par ce nouveau barème, une attitude clairement discriminante pour les précaires.
Ces nouvelles mesures régressives s’adressant à l’ensemble des précaires de France Télévisions n’ont pas été présentées en CCE, sans blague ! Une entrave claire au dialogue social au détriment des intéressés et de vos élus.
Cette attitude de la direction, plus qu’une erreur, est une faute grave, que nous ne laisserons pas passer ! Le SNJ apporte son entier soutien aux précaires et en appelle à la Présidente pour que ce dispositif soit purement et simplement retiré.
Paris, le 23 janvier 2017