Le premier syndicat de journalistes de France Télévisions
PREAVIS INTERSYNDICAL SNJ CGT FO SUD
Régions France 3 Tous nos communiqués/// Communiqué commun SNJ France TV / Radio France \\\ Le Syndicat National des Journalistes (SNJ) de France Télévisions et de Radio France réaffirme son opposition au projet politique de fusion des sites internet de France Bleu et de France 3 sur une plateforme baptisée « ici ». Sur le fond, […]
Communiqués nationaux Régions France 3 Tous nos communiquésPierre Nicolas, journaliste présentateur à Toulouse, est licencié pour faute grave. Pourtant, avec sa très longue carrière de présentateur d’émissions régionales et nationales, l’entreprise aurait du lui faire la fête le jour de son départ. Elle aurait du aussi se rappeler celui qui le 21 septembre 2001 était en première ligne […]
Non classéPierre Nicolas, journaliste présentateur à Toulouse, est licencié pour faute grave. Pourtant, avec sa très longue carrière de présentateur d’émissions régionales et nationales, l’entreprise aurait du lui faire la fête le jour de son départ. Elle aurait du aussi se rappeler celui qui le 21 septembre 2001 était en première ligne avec son collègue JRI, Michel Méziéres pour se rendre sur lieux de l’explosion d’AZF et ramener ces images exceptionnelles qui ont fait le tour du monde. Au lieu de cela, certains, à la direction, ont décidé de lui faire la peau, de le salir, de l’humilier, balayant dédaigneusement ses 34 années passées au service de la télévision publique.
La direction savait ce salarié fragile, suite au litige qui l’opposait à sa hiérarchie sur la non prorogation d’un usage établi jusque-là : une planification sur 4 jours en compensation de la présentation des JT tous les WE. Un litige qui avait eu pour conséquence sa disparition brutale de la présentation du journal. Depuis, notre collègue était usé, déprimé, désabusé. La direction a fermé les yeux, laissant pourrir la situation, attendant insidieusement un faux pas.
Le sort réservé à Pierre Nicolas est ignoble, mais c’est malheureusement ce qu’ils font à tous ceux, journalistes ou techniciens, dont ils ne veulent plus, notamment les seniors dont ils ne savent pas gérer la fin de carrière.
Lui, va porter désormais son dossier devant la justice pour faire valoir ses droits et retrouver sa dignité, comme l’ont fait avant lui d’autres collègues de la rédaction de Toulouse : Nicole Zimermann, pour qui, en septembre 2013, la Cour de Cassation a confirmé les faits de harcèlements à son encontre, ou Hélène Erlingsen, qui a obtenu réparation en juin 2014 en faisant annuler son licenciement. Le comportement et le cynisme du DRH relatés dans les attendus du jugement font froid dans le dos. Dans les deux cas, le harcèlement est avéré, France Télévisions condamnée.
La Direction du pôle sud-ouest n’en est donc pas à son premier fait d’armes. Mais la Justice a beau dénoncer, sanctionner et condamner, les mêmes dirigeants sont toujours
aux manettes. Et les conséquences financières de leurs agissements sont prélevées sur les ressources de France Télévisions, donc largement à la charge du contribuable, et ainsi détournées de leur objectif : le financement de l’activité de nos antennes.
Devrons-nous supporter cela encore longtemps ? Nos dirigeants peuvent-ils tout se permettre sans assumer les conséquences financières de l’usage abusif de leur pouvoir disciplinaire ?
Quelle image renvoient-ils aux salariés lorsque d’un côté ils dégainent la sanction comme seul dialogue, et que d’un autre côté, ils ne font rien lorsque les cadres dérapent, insultent, cumulent les fautes professionnelles ?
Ces petits potentats locaux vont-ils continuer à sévir, à régner en toute impunité sans que rien ne vienne jamais s’opposer à leur autoritarisme et parfois à leurs incompétences ?
A l’heure où elle lance les Assises de France Télévisions, symbole de ses nouvelles orientations, la nouvelle présidence doit prendre ses responsabilités. Le management tel qu’il est pratiqué dans certains secteurs de la société doit disparaître. Le mépris, la peur et la répression ne peuvent pas être le terreau d’un projet d’entreprise structurant. Ceux qui nous dirigent doivent montrer l’exemple et agir dans un cadre juste et équitable, compris et partagé par tous.
Les syndicats SNJ, SUD, CGC et CFDT
Toulouse, le 10 novembre 2015
LANDES DES EQUIPES de France 2 et France 3 Aquitaine ont été victimes de violences ce lundi à Audon dans les Landes lors du tournage d’une opération contre le braconnage des pinsons de la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux). Les JRI de France 2 […]
Non classéDES EQUIPES de France 2 et France 3 Aquitaine ont été victimes de violences ce lundi à Audon dans les Landes lors du tournage d’une opération contre le braconnage des pinsons de la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux).
Les JRI de France 2 et France 3 ont été bousculés, entravés dans l’exercice de leur métier. Le journaliste reporter d’images du bureau de France 2 Bordeaux a été déséquilibré, sa caméra arrachée et dissimulée au domicile de l’un des riverains à l’origine de l’agression.
Seule l’intervention des gendarmes a permis la rétrocession du matériel à l’équipe de reportage.
Les véhicules des deux chaînes ont eu chacun un pneu crevé. Le rédacteur de France 2 a essayé d’expliquer à l’un des auteurs des violences qui s’approchait de son véhicule que l’équipe ne faisait que son travail. Celui-ci a néanmoins tenté de l’intimider avec un outil agricole avant de s’en prendre au pneu de la voiture.
Les correspondants de France 2 ont déposé une plainte pour violences et menaces, pour l’arrachage et la « confiscation » illicite de la caméra ainsi que pour dégradation du véhicule.
Le SNJ exprime sa solidarité avec les journalistes agressés dans l exercice de leur profession. Le SNJ est prêt à les accompagner dans une procédure en justice : cette agression porte gravement atteinte à la liberté d’informer.
Paris, le 09 novembre 2015
Le SNJ CONDAMNE LES VIOLENCES CONTRE DES EQUIPES DE France 2 ET France 3
Après 4 jours de grève, les JRI de la rédaction France 2 ont le sentiment d’avoir été entendus sur une majorité de leurs revendications. Tout d’abord sur l’emploi, la Direction n’a pu que constater et reconnaître la situation de sous-effectif du service. Plus de 2000 jours de maladie […]
Non classéAprès 4 jours de grève, les JRI de la rédaction France 2 ont le sentiment d’avoir été entendus sur une majorité de leurs revendications. Tout d’abord sur l’emploi, la Direction n’a pu que constater et reconnaître la situation de sous-effectif du service. Plus de 2000 jours de maladie par an, plus de 10 postes disparus ces dernières années. Ce constat partagé a amené la Direction a proposer 9 embauches immédiates de CDD dont 5 créations nettes de postes et à conserver un volume de renfort avec des journalistes pigistes.
Sur les amplitudes horaires, un autre constat convergeant d’amplitudes journalières anormales, voire illégales, est partagé. La direction s’engage a recadrer les pratiques de la hiérarchie mais surtout offre la possibilité aux JRI de déclarer par tous moyens leurs horaires réels de travail. Le système informatique étant souvent rétif à enregistrer ces dépassements…
Sur le problème de la production des magazines, la Direction s’engage à ce qu’au moins la moitié des tournages du service soit assurée par des JRI CDI. Elle s’engage aussi à
étudier avec les organisations syndicales une monté en charge de 60 à 70% de production interne des magazines de la rédaction.
Sur l’organisation du service, à l’issue d’âpres négociations, les grévistes, les organisations syndicales (CFDT, CGT, CGC, FO et SNJ) et la Direction ont trouvé un moyen terme décisif. Le chef de service aura le grade de Rédacteur en Chef adjoint. Mieux qu’un chef de service, il pourra peser plus dans la hiérarchie, peser mieux sur les choix éditoriaux, avec une légitimité reconnue dans l’organigramme. Un point central pour les JRI qui ont vu leur métier déconsidéré peu à peu ces dernières années.
Enfin, concernant le déploiement des TV U-packs moyens de transmission 3G/4G, ce point ne permettant pas de trouver un consensus, il a été décidé d’un commun accord de le retirer ce du préavis. Il sera débattu dans les instances ad hoc mais donnera sans doute lieu à de nouvelles confrontations si la Direction persiste à ne pas vouloir jouer la transparence sur les risques professionnels et sanitaires et à encadrer les pratiques sur le terrain.
Conscient de l’important chemin parcouru dans cette négociation et grâce à la mobilisation sans faille des JRI (plus de 90% de grévistes chaque jour), les salariés et les OS ont donc décidé de signer le protocole négocié et ont voté à l’unanimité la fin de la grève ce vendredi 6 novembre à 18H.
Paris, ce 6 novembre 2015
CFDT – CGC – CGT – FO – SNJ
Le mouvement de grève des JRI de la rédaction de France 2 est toujours massivement suivi. Encore plus de 90% de grévistes pour ce deuxième jour. le mouvement ne faiblit pas et la réserve des reportages et images des éditions d’information de France 2 se […]
Non classéLe mouvement de grève des JRI de la rédaction de France 2 est toujours massivement suivi. Encore plus de 90% de grévistes pour ce deuxième jour. le mouvement ne faiblit pas et la réserve des reportages et images des éditions d’information de France 2 se tarit peu à peu.
Du côté de la Direction, on daigne convoquer les syndicats (CFDT, CGT, FO, CGC et SNJ), pour une négociation ce jeudi 5 novembre à 15h. C’est une première à France Télévisions qu’on laisse les salariés 48h dans un conflit sans leur proposer la moindre discussion. Est-ce le nouveau type de dialogue social qu’insuffle Delphine Ernotte ?
Si cette stratégie avait pour but de tester la détermination des JRI, elle l’a surtout renforcée. Pour l’instant elle nous montre comment la Direction répond à des problèmes concrets de qualité, d’organisation du travail et de santé, posés par des salariés.
Une assemblée générale s’est tenue à 15h ce mercredi entre les JRI, les rédacteurs de France 2 et des représentants des autres secteurs de France Télévisions. Les échanges font apparaitre de nombreuses préoccupations communes.
Ce conflit imprévu que la Direction n’a pas vu venir, doit être fondateur pour tous les salariés d’une nouvelle réflexion sur le rôle et la qualité de l’information de Service Public.
La poursuite de la grève a été votée à l’unanimité des JRI en assemblée générale, pour le jeudi 5 novembre.
Les syndicats CFDT, CGT, CGC, FO et SNJ
Grève des JRI de France 2 suivie et reconduite
Mercredi 4 novembre 2015
Un chiffre simple et écrasant résume la mobilisation des JRI de France 2 pour défendre la qualité de l’information et obtenir de meilleures conditions de travail : 94,5% ! C’est le pourcentage de Journalistes Reporters d’Images qui se sont déclarés grévistes aujourd’hui à leur prise de service. […]
Non classéUn chiffre simple et écrasant résume la mobilisation des JRI de France 2 pour défendre la qualité de l’information et obtenir de meilleures conditions de travail : 94,5% ! C’est le pourcentage de Journalistes Reporters d’Images qui se sont déclarés grévistes aujourd’hui à leur prise de service. Une mobilisation sans précédent.
En région le mouvement est suivi dans 9 bureaux de correspondants France 2 sur 10 en signe de soutien à leurs confrères parisiens, mais aussi par convergence de vues sur différents points dont l’utilisation des TV Upacks (transmission 3G/4G), la multiplication des tâches techniques et le morcellement du travail de chacun.
À l’heure actuelle, la direction n’a toujours pas jugé utile de reprendre les négociations. Un nouveau style de dialogue social ?
Les JRI de France 2 réclament toujours le comblement des postes perdus au fil des ans pour réduire les amplitudes horaires (fréquemment plus 13h/J), limiter les arrêts maladies (10% dans le service, 2 fois plus que dans le reste de FTV).
Ils veulent pouvoir être assurés de participer à tous les magazines de France 2 alors que l’externalisation des productions se multiplie. Ils veulent simplement que les magazines de la rédaction soient majoritairement produits par… la rédaction.
Ils exigent un moratoire sur les moyens de transmission 3G/4G TV U-packs. Une surcharge de travail, de poids, des responsabilités, sans aide supplémentaire, alors que les risques sanitaires des ondes émises par ces boîtiers sont encore mal connus.
Ils demandent que leur futur chef de service conserve le titre de Rédacteur en Chef afin de peser dans la hiérarchie et défendre la fonction particulière de JRI.
Sur tous ces points la direction jusque là apporte encore des réponses floues ou très insatisfaisantes, voire pas de réponse.
Cet après-midi une nouvelle Assemblée Générale décidera de la suite du mouvement.
Les signataires du préavis CFDT, CGC, CGT, FO, SNJ
Paris, le 3 novembre 2015
Selon les statistiques de la FIJ (Fédération Internationale des Journalistes), 118 journalistes ont perdu la vie dans l’exercice de leur profession en 2014. Actuellement, seul un assassinat sur dix fait l’objet d’une enquête. Ne parlons pas des agressions non mortelles à l’égard de journalistes, le tableau […]
Non classéSelon les statistiques de la FIJ (Fédération Internationale des Journalistes), 118 journalistes ont perdu la vie dans l’exercice de leur profession en 2014. Actuellement, seul un assassinat sur dix fait l’objet d’une enquête. Ne parlons pas des agressions non mortelles à l’égard de journalistes, le tableau est encore plus sombre ! Les gouvernements ne remplissent pas leur devoir de poursuite des auteurs de harcèlements, d’agressions, d’assassinats à l’encontre des professionnels des médias. L’impunité met en danger les journalistes, menace gravement la démocratie et compromet les espoirs de paix et de développement. Pourtant, les dispositions légales de protection des journalistes en tant que personnes civiles existent et les États ont le devoir de les appliquer aux termes du droit national et international.
Notre campagne 2015 #endimpunity a pour finalité de dénoncer ces records d’impunité dont sont responsables les gouvernements ainsi que toute agression perpétrée contre des journalistes et demeurée impunie.
Si le meurtre est la forme la forme la plus violente de ces agressions, toutes celles qui n’ont pas été sanctionnées doivent être dénoncées.
Tout en pointant tous les gouvernements qui n’ont pas enquêté sur ces délits, la campagne contre l’impunité se focalise sur quatre pays : Le Mexique, les Philippines, l’Ukraine et le Yemen.
Au Mexique, 49 journalistes et professionnels des médias ont perdu la vie dans le cadre de leur profession depuis 2010. Selon la Commission nationale mexicaine des droits humains (CNDH), environ 89% des cas d’agressions envers les professionnels des médias n’ont pas été résolus.
La FIJ dénombre 15 journalistes tués au Yémen depuis 2011, dont 10 en 2015. De plus, 16 reporters demeurent incarcérés, conséquences des combats que se livrent les Houthis, la coalition menée par l’Arabie Saoudite et al-Qaida. Aucun des responsables de ces meurtres n’a été traduit en justice.
La FIJ regrette également qu’aucun responsable n’ait été condamné pour son implication dans le Massacre d’Ampatuan en 2009 qui a coûté la vie à 32 journalistes aux Philippines. Quarante professionnels des médias ont été tués depuis 2009, dont 7 en 2015, le pays devenant ainsi le plus mortel pour les journalistes dans le sud-est asiatique.
Enfin, 15 ans après la découverte du corps décapité du journalistes ukrainien Georgy Gongadze dans la forêt près de Kiev, un rapport récent sur les actes perpétrées contre les journalistes en Ukraine dénombre 8 assassinats, 125 cas d’intimidations, 322 agressions, 162 tentatives de censures et 196 tentatives d’obstruction depuis début 2014. Si 54 enquêtes ont été lancées, seuls trois cas ont été portés devant les tribunaux.
Il n’y a pas de liberté de la presse lorsque la peur tenaille les journalistes.
Rejoignez la campagne de la FIJ dès maintenant, faites preuve de solidarité et de soutien en participant aux activités prévues cette année !
La Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes a été adoptée le 18 décembre 2013 par l’ONU et sera célébrée le 2 novembre, à l’occasion du deuxième anniversaire de l’assassinat de deux reporters de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, à Kidal, Mali, en 2013.
Cette journée précède une date importante, celle du 23 novembre, lorsqu’en 2009, avait lieu le massacre de Maguindanao aux Philippines au cours duquel au moins 32 journalistes ont perdu la vie dans ce qui reste l’agression la plus meurtrière contre les médias.
Notre campagne s’étendra du 2 au 23 novembre 2015
Fédération Internationale des Journalistes- non a l’impunité
Niveau « éditorial standard », stand-up de 50 secondes, « mise à niveau », 9 journalistes par antenne mis à disposition de la future chaîne Info… Ces informations ont été délivrées par certains rédacteurs en chef devant leurs journalistes au cours de la présentation de la refonte du 12/13… […]
Non classéNiveau « éditorial standard », stand-up de 50 secondes, « mise à niveau », 9 journalistes par antenne mis à disposition de la future chaîne Info… Ces informations ont été délivrées par certains rédacteurs en chef devant leurs journalistes au cours de la présentation de la refonte du 12/13… Cela augure mal du mode de participation des journalistes en région à la future chaîne Info.
Ces 9 rédacteurs ou « compétents complémentaires » identifiés dans chaque antenne comme correspondants de la chaîne Info subiront 3 jours de formation pour une « mise à niveau » en rapport avec les attentes de la future chaîne.
A l’instar de nos confrères des bureaux de France 2, serons-nous transformés en simples contributeurs des JT, fournissant sur commande des « éléments de sujet », ou des stand-up pré-formatés, pour satisfaire une nébuleuse ligne éditoriale?
Une situation que les signataires ne peuvent évidemment pas admettre. Comme le rappelle la Charte professionnelle, le journaliste n’est en aucun cas un simple exécutant faisant parvenir des pièces détachées pour un assemblage final hasardeux.
Une telle contrainte risque d’appauvrir considérablement le fond de nos journaux régionaux, déjà victimes du manque de moyens.
Ces « contributeurs » seront-ils remplacés dans leurs rédactions ? Ou bien y aura t-il des hommes/femmes-orchestre à la disposition à la fois de la chaîne Info et des éditions régionales?
Une chaine low cost, dans laquelle le personnel technique sera plus que réduit, le métier de monteur bafoué, d’autres métiers mis sur la touche. Exemple : les scriptes.
Nous exigeons plus d’informations de la direction du pôle SO sur ce qui est décidé dans les nombreuses réunions éditoriales parisiennes du moment, et qui concernera à très court terme chacun d’entre nous.
Nous n’accepterons pas à France Télévisions une uberisation du métier de journaliste.
Bordeaux, le 25 mars 2016
Fusions et confusion prealable-ce-21-octobre
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