Le premier syndicat de journalistes de France Télévisions
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Communiqués nationaux Tous nos communiquésPréalable au CSE Malakoff du 2 juin 2022 Le vote favorable du conseil d’administration de FTVintervenu mardi sur le projet Campus de regroupementdes sites parisiens autour du Siège a scellé le sort del’établissement de Malakoff……. pour lire la suite, cliquer ci-dessous
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Régions France 3 Tous nos communiquésProcès Bygmalion – France Télévisions Les magistrats du tribunal de Grande Instance de Paris ont suivi, et même alourdi les réquisitions du parquet. En infligeant des peines de 5 mois de prison avec sursis et 25 000 € d’amende à l’ancien PDG de France Télévisions […]
Non classéProcès Bygmalion – France Télévisions
Les magistrats du tribunal de Grande Instance de Paris ont suivi, et même alourdi les réquisitions du parquet. En infligeant des peines de 5 mois de prison avec sursis et 25 000 € d’amende à l’ancien PDG de France Télévisions Patrick de Carolis, 2 mois de prison avec sursis et 15 000 € d’amende avec sursis à Camille Pascal et 5 mois de prison avec sursis et 75 000 € d’amende à Bastien Millot, le tribunal a reconnu que ces anciens dirigeants de France Télévisions avaient bel et bien commis le délit de favoritisme pour les deux premiers et de recel de favoritisme pour le troisième. Le tribunal a considéré que les déclarations de Patrick de Carolis n’étaient pas vraisemblables et que le l’ancien PDG de France Télévisions avait agi en connaissance de cause.
En condamnant ce qui est apparu au cours des débats comme une forme de “culture d’entreprise” au sein de France Télévisions, le tribunal a rappelé que ces arrangements entre amis qui grèvent les finances de l’entreprise et écœurent les salariés constituent des pratiques délictueuses.
Une petite délinquance en col blanc à laquelle se livrent ceux qui invoquent les impératifs de la rigueur budgétaire pour imposer suppressions de postes, fermetures de services, abandons de missions.
Les tartuffes de la bonne gestion sont prévenus. Leur impunité n’est plus garantie.
En cela, cette décision peut avoir une vertu d’exemplarité.
Le SNJ se félicite de l’issue de cette procédure. Non pas parce qu’elle humilie un trio d’ex-dirigeants mais bien parce qu’elle pourrait inciter leurs successeurs actuels et futurs à rompre avec les commandes de complaisance, les renvois d’ascenseurs et autres conflits d’intérêts.
En condamnant les accusés à verser une indemnité au SNJ, à la CFDT et à la CGC, parties civiles dans cette affaire, le tribunal a aussi rappelé qu’il appartient aux syndicats de défendre les intérêts des salariés, y compris devant le tribunal correctionnel. Quand ils sont témoins de délits commis par des patrons voyous, les “partenaires” sociaux n’ont pas à se murer dans un silence complice.
Paris, le 19 janvier 2017
Procès Bygmalion_Patrick de Carolis condamné à une peine de prison avec sursis
Rédaction Malakoff 2017 nouvelle année, nouvelles ambitions, mais pour qui ? Le rapprochement des rédactions TV, web, radio des rédactions de Malakoff vue de l’extérieur est à l’image de la politique de France Télévisions et des recommandations de la Cour des comptes : mutualiser les […]
Non classé2017 nouvelle année, nouvelles ambitions, mais pour qui ?
Le rapprochement des rédactions TV, web, radio des rédactions de Malakoff vue de l’extérieur est à l’image de la politique de France Télévisions et des recommandations de la Cour des comptes : mutualiser les forces pour limiter les dépenses. Mais à y regarder de plus près, ce projet explose les chiffres.
La future rédaction affiche 54% d’encadrants ! Bien mieux que les 40% au sein de la direction de l’info dénoncés dans le dernier rapport de la Cour des comptes. Un chef pour 1.85 reporter, un sur-encadrement qui selon la direction, n’affecte pas le budget.
Et pour cause, la future rédaction de Malakoff est prévue avec 10% des effectifs en moins… Quid des CDD historiques qui donnent le meilleur d’eux même au quotidien ? Pourront-ils prétendre postuler sur un poste de journaliste à Malakoff dès 2017 ? Comment penser qu’une information de qualité, qu’une rédaction efficiente, peut fonctionner avec toujours plus d’encadrants et toujours moins de reporters de terrain ? Est-ce le début de la fin de cette rédaction ?
La réorganisation, assortie d’un tour de passe-passe, présage d’un avenir bien sombre pour le site de Malakoff.
Paris, le 17 janvier 2017
Surenchère de chefs = suppression de postes
France 3 Picardie Un rédacteur en chef qui piétine la charte des droits et des devoirs des journalistes, intégrée à l’accord collectif de France Télévisions, et pratique la censure : ça se passe à France 3. Dimanche 8 janvier, Xavier Bertrand, président du Conseil régional des […]
Non classéUn rédacteur en chef qui piétine la charte des droits et des devoirs des journalistes, intégrée à l’accord collectif de France Télévisions, et pratique la censure : ça se passe à France 3.
Dimanche 8 janvier, Xavier Bertrand, président du Conseil régional des Hauts-de-France, est l’invité de « Dimanche en Politique ». L’émission est fabriquée en alternance en Picardie et en Nord-Pas-de-Calais.
Deux sujets ont été commandés à la rédaction de France 3 Picardie. Un sujet sur « Proch’emploi », le dispositif régional pour lutter contre le chômage, et un sujet sur les retards récurrents de la ligne Boulogne-Amiens-Paris.
Stupeur à la diffusion : le sujet sur les retards ferroviaires a été trappé et celui sur Proch’emploi a été recommenté. Le tout sans en avertir les auteurs.
Argument du rédacteur en chef de Lille, commanditaire et censeur des sujets : le sujet sur le train est « hors sujet » car il a été tourné dans un Corail intercités et pas dans un TER (géré par la Région). C’est tellement hors sujet que les journalistes en plateau interrogent Xavier Bertrand sur le sauvetage de deux lignes de train Corail et sur la future gestion de ces lignes par la région dès 2019 ! Le Président du Conseil régional a répondu pendant 6 minutes sur ce point. Etait-il lui aussi hors sujet ?
Au sujet Proch’emploi est reproché son ton « gratuitement moqueur ». Un sujet impertinent qui ne rentrerait pas dans le ton de l’émission. Le rédacteur en chef est maître de la ligne éditoriale mais pourquoi, alors que ce sujet est prêt depuis 3 semaines, ne pas en informer son auteur et ne pas lui demander de recommenter lui-même son sujet ? Le rédacteur en chef avait pourtant su parler avec ce rédacteur pour commander et angler ce sujet pour lequel ce dernier avait accepté de revenir sur une journée de congés.
Le rédacteur en chef de Lille a d’abord estimé que ce n’était pas à lui de communiquer directement avec les journalistes auteurs des sujets. S’il y a réclamation, c’est aux journalistes de le contacter ou d’obtenir des explications auprès du rédacteur en chef d’Amiens. Qui a découvert aussi à l’antenne le caviardage des sujets. Et qui, lui, a fait le choix de diffuser les deux sujets, tels quels, dans son JT.
Au final, c’est encore un exemple d’un management méprisant et lointain, où les journalistes de terrain sont considérés comme des pions.
Le SNJ exige que la rédaction en chef respecte la charte des droits et devoirs des journalistes, qu’il est lui-même tenu de respecter. Les journalistes sont moralement et juridiquement responsables de leurs sujets. Ils ne sont pas des sous-traitants.
Amiens, le 17 janvier 2017
Respect ! : Article Le Figaro ITélé explicitement : Article TéléObs Article Télérama Audiences, quand le monopole n’est plus synonyme de tirages : Article Ozap Mais ça va bien pour les hebdos : Article Ozap Le numérique, ça pique ! : Article Ozap Le plafond de verre : Article Ozap Django […]
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Respect ! :
ITélé explicitement :
Audiences, quand le monopole n’est plus synonyme de tirages :
Mais ça va bien pour les hebdos :
Le numérique, ça pique ! :
Le plafond de verre :
Django castré ! :
Du coup autant voir ça J :
Elise :
Le stress positif ?? :
Voilà, une sélection tout à fait subjective de la presse, bonne journée
Philippe Bard
Les ambitions numériques du Figaro : Article Ozap Numérique toujours : Article Ozap Manifestement tout le monde ne l’a pas « vu » : Article Ozap Il faut savoir finir une grève ! : Article Le Figaro Brrrrr ! : Article Le Figaro Piqure de rappel : Article Télérama Philippe Bard
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Les ambitions numériques du Figaro : Article Ozap
Numérique toujours : Article Ozap
Manifestement tout le monde ne l’a pas « vu » : Article Ozap
Il faut savoir finir une grève ! : Article Le Figaro
Brrrrr ! : Article Le Figaro
Piqure de rappel : Article Télérama
Philippe Bard
Audiences : le débat de la primaire de la gauche fait un flop article Le Point Deux heures avant la fin du débat de la primaire de la gauche, « Le Figaro » avait déjà sa Une article Huffingtonpost Primaire de gauche : quand Elise Lucet se fait […]
Non classéAudiences : le débat de la primaire de la gauche fait un flop
article Le Point
Deux heures avant la fin du débat de la primaire de la gauche, « Le Figaro » avait déjà sa Une
Primaire de gauche : quand Elise Lucet se fait de la pub pendant le débat
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Questions d’actualité au Gouvernement – Saisie du CSA après l’interview de Farid Benyettou le mentor des frères Kouachi
« Le CSA est le garant de la liberté de communication pour l’audiovisuel. Un code de bonne conduite vient d’être publié pour la couverture médiatique d’actes terroristes. Dans ce cas d’espèce [l’interview de Farid Benyettou], vous avez eu le bon réflexe en saisissant le CSA. Laissons-le agir », a indiqué Audrey Azoulay, ministre de la Culture et de la Communication.
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« Paye ta shnek », ta robe, ton taf… : à quoi servent les recueils de témoignages de sexisme en ligne ?
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Bonne journée
Muriel Demguilhem
Voici quelques exemples des problèmes survenus ces dernières semaines dans la fabrication et la diffusion des journaux. Cette liste est incomplète : Le 22 novembre, la régie son a sauté : 4 minutes dans le vide sur le plateau, un sujet lancé 4 fois de suite, un […]
Non classéVoici quelques exemples des problèmes survenus ces dernières semaines dans la fabrication et la diffusion des journaux. Cette liste est incomplète :
Le 22 novembre, la régie son a sauté : 4 minutes dans le vide sur le plateau, un sujet lancé 4 fois de suite, un duplex réalisé à l’aveugle, deux sujets dont les sons se superposent.
Le 7 décembre, le serveur a planté. Les sujets sont envoyés au compte-goutte. Stéphane Beaudet, vice-président de la région est invité de l’édition du soir. Cette dernière sera « sauvée » grâce à la présentatrice, au chroniqueur et à l’invité qui ont pu « meubler ».
Le 1er janvier coupure du journal du soir avant le dernier sujet. Ce jour-là le car-régie a disjoncté. Un incident prévisible car lorsque cette solution a été trouvée, on nous disait qu’il ne passerait pas l’hiver.
Le 4 janvier l’envoi aviwest d’un off+itw sur l’opération pièces jaunes pour l’édition du midi n’a pas fonctionné. L’abonnement n’avait pas été renouvelé par le siège. Ce n’est pas la première fois que cet incident se produit, déjà 2 mois avant un envoi avait échoué à cause d’un abonnement non renouvelé.
Le 10 janvier, nouvelle coupure de courant dans la nuit. Lorsque le car-régie fonctionne après de tels incidents il perd ses configurations qu’il faut réinstaller: pas de direct possible, pas de cabine ni même de sujet en 2 pistes…. et pas de retour son sur le plateau. La présentatrice l’a découvert à l’antenne. Il n’y a que 2 micros sur le plateau, l’un pour la présentatrice, l’autre est défaillant et doit être partagé pour un journaliste et deux invités.
Le 11 janvier coupure de courant dans le bâtiment à 40 minutes de l’antenne. L’édition de midi a cependant été maintenue. Après 15 minutes de coupure, le travail a repris dans l’urgence pour tout le monde. Un sujet tourné et envoyé dans la matinée par un bureau excentré n’a pu être monté.
Concernant les BEX. Il y a 4 bureaux et 4 transmissions par jour, il y a 4 systèmes en panne depuis plus d’un an. Pourquoi cette région (la seule) n’est pas capable de faire fonctionner ses bureaux correctement ?
Dans le car-régie le réseau d’ordre fonctionne de manière incertaine (impossibilité de communiquer entre le réal, la scripte, le présentateur, le prompteur) : un enfer quand le conducteur change dans tous les sens au gré des aléas techniques.
S’ajoutent des problèmes d’effectifs non remplacés en particulier chez les techniciens. Des choix éditoriaux doivent donc être faits selon ces contraintes. Pendant les vacances de Noël, des OPS ont été obligés d’assurer le mixage actu et le son sur le plateau.
Le montage reste également un point noir.
Les journaux ont certes été raccourcis mais le problème n’est plus là, quelle que soit la durée des éditions, une coupure ou un mode dégradé sont inacceptables pour tous ceux qui fabriquent le journal et pour les téléspectateurs qui sont en droit d’attendre un journal régional de qualité.
Depuis le 2er juillet 2016, jour de l’incendie dans les sous-sols de nos locaux, nous parvenons à fabriquer et diffuser :
-deux éditions chaque jour
-un tout-image de 13 minutes le samedi
-une émission politique le dimanche
-des magazines.
Et pendant qu’on y est : pourquoi ne pas assurer les 2 tours de la présidentielles et des législatives avec ce car-régie ?
Ceci n’est plus tenable, surtout lorsque le directeur en charge du réseau régional estime que le car-régie est la seule solution et qu’il comprend qu’il y ait des risques de glissades pour y accéder.
Nous avons un car et un serveur obsolètes.
L’investissement dans un onduleur, demandé cet automne par la technique vanvéenne, a été refusé par le siège. Finalement il aura fallu attendre 6 mois avant de voir arriver un onduleur de location.
Quelles sont à ce jour les solutions envisagées pour limiter ces problèmes ?
Nous ne pouvons pas attendre plus longtemps, comme vraisemblablement vous l’envisagez, la prise en charge par les assurances.
Nous exigeons un investissement pérenne pour notre station.
Les salariés réclament des réponses et demandent qu’une délégation soit reçue au plus vite par la direction
La Société des Journalistes d’Ile-de-France
Et une majorité des personnels techniques
Avec le soutien du SNJ France Télévisions
Paris, le 13 janvier 2017
Les anciens d’ITélé tentent de survivre Article Ozap Le mercato d’hiver : Article Ozap La presse d’extrême droite prise par la patrouille Article Ozap Des sous ! Article Le Figaro Ou pas ! Article Le Figaro Bonne question ? Article Télérama Vu ?? Article TéléObs On ne devrait […]
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Les anciens d’ITélé tentent de survivre
Le mercato d’hiver :
La presse d’extrême droite prise par la patrouille
Des sous !
Ou pas !
Bonne question ?
Vu ??
On ne devrait pas dire ça !
Voilà, bonne fin de journée
Philippe Bard
Selon Mediapart les journalistes du Monde vont perdre leur minorité de blocage Faux répond la société des rédacteurs du Monde dans un communiqué Casse sociale à la Voix du Nord merci la Loi Travail ! Charlie Hebdo 2 ans après Elkabach recasé à Itélé Le […]
Non classéSelon Mediapart les journalistes du Monde vont perdre leur minorité de blocage
Faux répond la société des rédacteurs du Monde dans un communiqué
Casse sociale à la Voix du Nord merci la Loi Travail !
Le moment de revenir en vidéo sur les meilleurs moments de JPE
IL est de retour… Jean-Pierre Elkabbach rejoint iTELE. pic.twitter.com/12dys86hjg
— Brut FR (@brutofficiel) January 11, 2017
Laurence Haïm recasée chez Macron
Ménard réagit et se fait recadrer sur les réseaux sociaux
Une page Facebook pour les témoignages de victimes de harcèlement dans les médias
Et le meilleur pour la fin : la première conférence de presse de Donald Trump… Il remballe un journaliste de CNN
Bonne lecture bonne journée
Muriel Demguilhem
France 3 Quercy Rouergue Nous aurions voulu faire un reportage sur la dernière exposition temporaire «Tant de temps» qui se tient en ce moment au musée Soulages, avec les œuvres de 50 artistes contemporains. Nous aurions voulu vous emmener faire une balade esthétique parmi des […]
Non classéNous aurions voulu faire un reportage sur la dernière exposition temporaire «Tant de temps» qui se tient en ce moment au musée Soulages, avec les œuvres de 50 artistes contemporains.
Nous aurions voulu vous emmener faire une balade esthétique parmi des œuvres modernes et contemporaines.
Nous aurions voulu parler art et culture avec la commissaire de l’exposition et le conservateur en chef des musées de Rodez Agglomération.
Un reportage que nous essayons de caler depuis le début de l’exposition, le 3 décembre 2016
Oui mais voilà, le président de Rodez Agglomération, M.Christian Teyssèdre, conditionne notre autorisation de tournage à l’interview d’un élu.
Quand on aborde la politique culturelle dans nos reportages, les élus y ont toute leur place.
Quand nous traitons de l’aspect culturel et artistique, ce n’est pas le cas.
Nous n’acceptons pas que des hommes politiques s’érigent en journalistes qu’ils ne sont pas et s’arrogent le droit de nous imposer une ligne éditoriale qui n’est pas de leur ressort.
D’autant plus pour parler d’expositions dans des institutions publiques financées par les deniers publics.
La liberté d’expression n’est pas négociable. Sans presse libre il n’y a pas de démocratie…
Deux ans après avoir défilé en tête d’un cortège sous la bannière «Nous sommes Charlie» en réaction à l’attentat contre Charlie Hebdo et la mort de plusieurs journalistes, nous voulons rappeler à nos élus le sens de leurs devoirs et de leurs responsabilités.
La liberté d’expression n’est pas négociable. Sans presse libre il n’y a pas de démocratie…
La rédaction de France 3 Quercy Rouergue
Avec le SNJ France Télévisions
Rodez, le 9 janvier 2017